Dormir dehors? mauvaise idée je crois... [pv Mamoru ~ Hentaï]

J'avais froid, très froid. Je n'avais plus la force pour ouvrir mes paupières fatiguées. Mais ce froid paralysait mon corps, ce qui n'était vraiment pas supportable. Je n'entendais pas très bien les voix qui semblaient, je crois, inquiètent. J'avais pris un grand risque en glaçant le ranch, je le savais. Mon coeur martyrisé n'avait plus de force que moi, je me sentais tellement faible et frigorifiée de l'intérieur que rien ne pouvait me réchauffer, à part peut-être me jeter dans les braises flamboyantes d'un bon feu.

Cependant, je sentais que je ne restais pas immobile. Mon corps eut soudainement encore plus froid avant de ressentir une petite chaleur l'envelopper doucement. Je profitais pour m'accrocher mentalement à cette petite source de douceur, pour ne pas me laisser mourir de froid. Pas maintenant. La source de chaleur se fit plus grande, je pouvais la sentir dans mon dos tandis que tout mon corps tremblait d'aise. Ce n'est qu'après quelques minutes que j'ai pu ouvrir les yeux. J'étais sous un drap, avec des habits qui ne m'appartenaient pas du tout! mais... Mamoru s'expliqua.

" Ah je vois... et bien euh... pas grave... ahem..."

En plus de sentir mes joues devenir aussi rouge que des tomates bien mûres, je pouvais entendre le coeur de Mamoru battre à la même vitesse que le mien, une vitesse un peu trop élevée...


" Oui, il n'y a plus qu'à attendre... tu n'as pas froid toi sans ton... tee-shirt?"

Au bord de la crise cardiaque, je frissonnais au contact de ma peau sur la sienne car un bout de son tee-shirt n'était pas bien mis, laissant ma peau à découvert. Là, pour sur, j'avais chaud. Trop chaud. Et la lune n'était pas prete de se coucher... Oh mon dieu...

Leur situation avait l'air d'avoir changé d'orientation à partir d moment où la jeune alchimiste entoura le ranch de glace afin d'attendre la pleine lune : un problème apparut alors; ils risquaient de mourir de froid maintenant mais n'avez plus à craindre des lycans; c'était déjà ça.

Le jeune cyborg avait alors construit une abri de chaleur de fortune en enlevant son haut avant de le passer sur l'alchimiste qu'il installa dans ses bras afin que leurs deux corps se tiennent mutuellement chaud; sous le regard amusé de la peluche robotique du jeune homme qui ne voulait jamais manqué de voir son maitre dans l'embarras : pour le coups; c'était réussi.

Le cœur du cyborg battait à tout rompre dans sa poitrine alors que sa peau touchait celle de l'alchimiste de glace qui sembalit aussi embarrassé que lui; la lune allait mettre du temps avant de se coucher et les lycans ne leurs feraient rien tant que la glace tenait: le jeune homme décida donc de répondre à celle dans ses bras en inspirant doucement pour ne pas bafouiller.

-Je peut m'en passer Yukiko; l'important est que tu n'es pas froid.
Mon sang possède plusieurs minuscules machine à l'échelle microscopique qui soigne mon corps de l'intérieur et ainsi me réchauffe.
Je ne craint pas trop le froid dans une certaine mesure.

Il y'avait beaucoup mieux à discuter mais c'était déjà ça.

Peut-être n'aurais-je pas dus utiliser l'alchimie pour nous protéger, mais je m'en fichais éperduement. Parce que la glace pouvait nous sauver la vie, j'avais pris le risque de nous construire un grand bouclier de glace, faisant chuter à une vitesse hallucinante la température. Je faisais aussi chuter le peu d'énergie qui me restait et je me suis retrouvée dans les vapes et dans un froid bien trop dangereux pour nous. Sauf que. Mamoru pouvait résister au froid, mais pas moi.

C'est comme ça que je me suis retrouvée sous une couverture, le tee-shirt de Mamoru sur moi et lui contre moi, son torse contre mon dos. Je vous explique même pas à quel point je me sentais perturbée. Parce que jamais un garçon ne m'avait approché d'aussi près, du moins de cette façon là. Rouge comme une pivoine, je balbutiais un peu. La honte! Mais sa réponse me donnait l'occasion de faire passer le temps.

" Ah je vois... C'est pour ça que tu es torse nu alors que je suis surprotégée... Non pas que ce soit désagréable, mais c'est gênant... ahem..."

Rougissant encore plus, je sentis mon corps frissonner. Et la nuit allait être longue... Oh seigneur...

Heureusement que le jeune homme était dans son dos; il était en train de devenir aussi rouge qu'elle: o, aurait dit un petit plan de tomate bien rouge en voyant les deux têtes rougissante de l'alchimiste qui les avait mit dans un cercueil de glace et celle du cyborg qui avait crée cette couverture de gène en essayant de la sauver : qui est le plus à plaindre des deux ?

Le souffle chaud de Mamoru arrivait sur la nuque de la jeune alchimiste alors que lui se sentait de plus en plus bizarre; était-ce le fait qu'il s'inquiétait plus du fait que la peau de Yukiko touchait la sienne alors qu'ils risquaient de mourir de froid et qu'ils étaient encerclé par des lycans depuis le début de la soirée ? Pas facile de réfléchir alors qu'il commençait à ressentir la morsure du froid lui aussi; il serra doucement ses bras autour de la jeune fille assis contre lui et croisa ses jambes sous les siennes pour se réchauffer un peu alors qu'il réussissait à entendre le cœur de l'alchimiste battre contre le sien dans sa poitrine.

Mokona lui allait chercher d'autre couverture; laissant le jeune Senken avec l'alchimiste de glace :

-N'attrapez pas trop froids, il reste encore quelque heures avant que la lune ne se couche.

Il leur fit un sourire sadique en les regardant avant d'enchainer:

-Ta température corporelle est en train de baisser dangereusement Mamoru; tes nannites ne peuvent te protéger très longtemps dans ses situation : l'idéale serais que vous soyez torse nu l'un contre l'autre pour apporter une maximum de chaleur et vous gardez suffisamment au chaud pour le reste de la nuit.

Après avoir jeté un froid conséquent dans la pièce; il sautilla en souriant à la tête des deux jeunes gens.

Une situation vraiment gênante, mais j'avais si froid que la chaleur de Mamoru me faisait un bien fou! Peut-être était-il même aussi rouge que moi... Riant intérieurement, je me suis soudainement souvenue que lui n'avait pas de tee-shirt vu que c'est moi qui l'avait. Que faire? Je sentis ses bras se refermer un peu plus sur moi, me rapprochant de sa poitrine. Ses jambes se croisèrent. Il essayait de garder la chaleur.

Alors que j'allais émettre une parole, Mokona nous amena une autre couverture. Doucement je regardais la peluche avant d'écarquiller les yeux devant son air sadique. Je compris vite pourquoi et piquais un fard. Rouge power!

-Ta température corporelle est en train de baisser dangereusement Mamoru; tes nannites ne peuvent te protéger très longtemps dans ses situation : l'idéale serais que vous soyez torse nu l'un contre l'autre pour apporter une maximum de chaleur et vous gardez suffisamment au chaud pour le reste de la nuit.

" Tu... Mokona viens par ici.." lui ai-je dis avec un regard tueur et amuséé a la fois.

Me détachant de Mamoru j'attrapais Mokona pour l'envoyer dans le foin, quelques mètres plus loin. Mes joues rouges se voyaient vraiment maintenant. Me replongeant dans les bras de Mamoru, j'ai attrapé la couverture pour nous couvrir entièrement. Mais en replongeant contre lui je me suis mise face à lui. Du coup... je me sentais vraiment gênée là... mon coeur battait trop vite!

" On... aura probablement plus chaud la dessous... ahem..."

La vue de son torse nu me rendait toute chose et je détournais vite les yeux.

Les yeux du jeune cyborg étaient en train de s'écarquiller à faire peur; son œil bionique reprit sa couleur rouge vif; marque qu'il était en train de verrouiller la petite peluche en imaginant toutes les tortures possible pour cette créature robotique qui prenait un malin plaisir à tourmenter les deux jeunes gens.

Avant qu'il ne put faire le moindre mouvement, Yukiko se détacha de ses bras pour jeter l'odieuse petite peluche blanche dans la paille; Mamoru sentit un grand froid le traversé; était-ce le fait qu'il ne sentit plus la chaleur de la jeune fille contre lui ou alors qu'elle n'était tout simplement entre ses bras.
Une fois la malicieuse créature corrigé; elle retourna contre le cyborg en amenant une couverture supplémentaire mais se stoppa à la vue de son torse nue: le visage de Mamoru reprit sa teinte rouge en un battement de cil alors qu'un regard sadique sortait de la meule de foin ainsi qu'un petit rire malicieux.

Mokona bondit du foin et fit tomber la jeune fille sur le cyborg qui recouvrait son torse contre sa poitrine et son visage à quelque centimètres du sien.

-Vous me remercierais plus tard. Fit le petit monstre blanc avant de se sauver en quête de nouvelle couverture.

Le jeune cyborg ne pouvait absolument plus rien faire alors que son regard commençait à être prisonnier de celui de l'alchimiste alors que son rougissement disparaissait petit à petit.

-Yukiko...

Son œil reprenait doucement sa couleur rouge sans qu'il ne s'en aperçoive alors que ses bras se mettaient autour de sa taille.

Commet avais-je pu me retrouver dans une situation pareille? Etre avec Mamoru ne me dérangeait pas du tout, au contraire sa présence me faisait du bien mais là... lui torse nu et moi tremblate de froid sous une couverture, fallait dire ce qui était, ça prêtait à confusion. Si en plus de notre gêne Mokona se mettait à nous embarasser un peu plus, on était pas sortit d'affaire. Je l'avais alors attraper pour le jeter plus loin. Cependant, la petite peluche se vengea en me poussant dans les bras de Mamoru et en posant l'autre couverture sur nous.

Maintenant, on se retrouvait face à face, mon visage à quelques centimètres du sien. Proche. Trop proche même. Je n'avais pas accordé à Mokona un regard furieux tellement j'étais surprise d'être dans les bras de Mamoru. Mon coeur battait contre le sien. C'était... troublant. Et bien sur, pour moi c'était aussi la première que je me retrouvais dans une situation pareille avec un mec. Je n'avais jamais connu l'amour, et ce qui se passait en ce moment même m'était aussi inconnu que nouveau.

Hypnotisé par le regard de Mamoru, je ne le lâchais pas des yeux. Si ses joues commençaient à redevenir normale, moi elles restaient dans une belle teinte bien rose alors qu'il prononça mon prénom. Doucement. Ses mains entourèrent ma taille, j'ai senti mon coeur bondir dans ma poitrine tandis que je tentais de dire quelque chose. Mais je n'y arrivais pas. C'était coincé. Sous la couverture, il faisait décidément très chaud. Trop chaud même.

Mais alors que j'essayais en vain de reprendre un temps soit peu le contrôle de moi-même, ma main droite se posa délicatement sur la joue de Mamoru dans l'intention de la caresser doucement. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je faisais cela, mais je savais une chose, c'est que je ne pouvais plus rien contrôler. Avec une douceur qui me surprenait, j'ai déposé un baiser sur ses lèvres chaudes. Ce qui allait se passer, je n'en avais aucune idée, cependant je me sentais trop bien, indépendamment de moi parce que je n'avais plus aucun contrôles, pour tout stopper. Advienne que pourra.

c'était vraiment une journée qui allait resté graver profondément dans sa mémoire :d'abord les lycans et maintenant ça; son premier baiser:
; ou du moins quelque chose qui y ressemble.

Mamoru ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, pas plus que le pourquoi quand Yukiko tomba doucement sur lui à cause d'une des farces d'un Mokona vicieux tout droit sorti d'un tas de foin avant de disparaitre en laissant les deux jeunes gens dans cette situation assez ambiguë.
Lorsque que son torse nue fut blotti contre la poitrine de l'alchimiste de glace; il n'eut pour seul réaction que de la prendre doucement contre lui avant de la serrer avec tendresse au point que leurs cœurs battaient à l'unisson dans un concert de pulsation grandissant de seconde en seconde.

Puis l'incroyable se produit : Yukiko dont le regard n'arrivait pas à se retirer du sien posa délicatement sa main sur sa joue dans une douce caresse avant de poser doucement ses lèvres dans un baiser chaud; très chaud. Le cyborg venait de gouter aux lèvres de la douce alchimiste de glace; il ne sut pas pourquoi mais il voulait plus :il remonta une de ses mains à sa nuque avant de reprendre ses lèvres avec envie et se servait de l'autre main pour la serrer un peu plus contre lui.

Alors que la peur et le froid le tenaillait; un seule baiser de l'alchimiste l'envoya dans un autre monde remplie de tendresse et de chaleur; toutes ses interrogations disparurent pour laisser place à la jeune femme dans sa tête; elle lui avait ouvert les portes d'un monde qu'il ne connaissait pas mais dans lequel il s'abandonner si seulement elle y était.

Je me sentais tellement légère que j'aurais pu facilement m'envoler. De petits papillons volaient dans le creux de mon ventre, j'avais chaud et j'étais si bien dans les bras de Mamoru que je ne voulais plus m'en détacher. Mokona m'avait littéralement poussée dans les bras du jeune homme, maintenant je ne regrettais pas ce que la petite peluche avait fait. Parce ce qu'il s'est passé ensuite fit bondir nos deux coeurs dans un ballet synchronisé. Si Mamoru ne m'avait pas serrer dans ses bras, peut-être que la situation plus que particulière dans laquelle nous étions ne se serait pas produite.

Pourquoi je lui avais tendrement caressé la joue, je ne saurais vous donner la réponse parce que j'avais la tête ailleurs. Nan, en fait j'étais bien présente mais mes lèvres sur celles de Mamoru m'empêchaient de réflechir un temps soit peu correctement. Du coup, plus moyen de me détacher de lui. Une de ses mains sur ma nuque, l'autre serrant mon corps tout contre le sien, ses lèvres envieuses des miennes et qui furent capturées avec tendresse et chaleur. Oui, il faisait chaud. Très chaud même. Un peu trop peut-être. Cela n'a aucune importance.

C'était la première qu'un garçon m'embrassait. Rejetée depuis longtemps par les autres, je n'avais jamais connu ce sentiment qui emportait chacune de mes craintes, des plus simples aux plus folles, pour ne garder à l'esprit que cette douce sensation qui émanaient de nos deux corps serrés, de nos deux coeurs battant en une symphonie délicieuse. Ce qui se passait entre nous, je n'avais aucune connaissance du mot que cela représentait. Cependant, malgré le fait que nous étions deux inconnus autant pour lui que pour moi, un lien s'est doucement créé entre nous.

Et ses lèvres étaient si douces, si chaudes que je ne me lassais pas de les gouter encore et encore. Ma main libre s'était instinctivement posée sur son torse brulant, je ne m'en suis même pas rendue compte. Nous laissions le corps prendre le dessus sur le reste, laissant Mokona seul dans sa botte de foin. Il pourrait toujours essayer de nous interrompre, je crois que c'était peine perdue.

Quelque chose était en train de naitre entre eux, une fleur parfumé d'un sentiment leurs étant inconnue s'épanouissait lentement entre leurs lèvres qui ne voulaient pas se séparer; pour rien au monde il ne voulait être séparé d'elle pendant cet instant d'éternité. Un feu s'embrasa dans sa poitrine, attisé par les caresse de la belle alchimiste de glace; celle-ci avait fais fondre le cœur de métal que c'était fait le jeune cyborg qui avait peur de souffrir en perdant la seule personne qu'il aimait: son père assassiné sous ses yeux par un mutant qu'il rechercha encore aujourd'hui; mais Yukiko avait réussi à retirer le blindage de son cœur en une nuit.

Mamoru passa doucement ses mains le long de son dos en l'embrassant avec plus d'envie avec une infini douceur propre à celle qui aime pour la première fois depuis des années; dire qu'il ne la connais que depuis quelque heure et que cette situation n'as pu se crée sans son impossible peluche blanche et malicieuse qui dans un caprice de voir Mamoru dans la plus grande gène à précipité la jeune femme contre lui. Maintenant; elle était contre lui, son regard plongé profondément dans le sien, sa peau douce contre la sienne : ses yeux étaient deux étoiles dans cette nuit froides que leurs corps respectifs réchauffaient doucement et que rythmaient le concert de leurs cœurs battant à toutes vitesse l'un contre l'autre.

Le jeune cyborg garda doucement ses lèvres prisonnière des siennes sans savoir que faire maintenant; l'émotion qu'il éprouvait était inconnue pour lui et pour elle aussi mais il s'y abandonnait complètement avant de commencer à caresser timidement la langue de l'alchimiste qui ne restait plus de glace avec a sienne en resserrant un peu plus son étreinte alors que son corps lui semblait brulant: quelque chose de nouveau s'emparait de lui; et ce n'est pas les loups qui hurlaient à la lune qui l'en délivrera.

-Yu..ki...ko...

Il reprit sa bouche sous cette phrase pleine de cette nouvelle émotion dans un baiser avec plus d'envie, d'entrain, de désir...

Dans le ranch, alors que la nuit n'était pas prête de passer, alors que les lycans hurlaient, je me sentais totalement hors d'un quelconque contrôle sur moi-même. J'avais même ôté ma bague au cas où. Car une trop forte émotion pouvait me faire faire des bétises probablement irréparable. Je me contentais seulement de la peau délicieusement chaude de Mamoru ainsi que de ses lèvres, faisant battre nos coeurs en un symphonie rapide et synchronisée. Je crois que c'était bien la première fois que je ressentais cette émotion s'infiltrer dans chaque cellule de ma peau pour mémoriser ce qu'était le garçon en dessous de moi, et qui faisait hurler mon coeur d'un cri que je pensais d'amour. Tombée amoureuse de Mamoru alors que l'on ne se connaissait qu'à peine...

Ses mains qui passèrent dans mon dos ne m'aidaient pas à avoir les idées clairs. Je ne pouvais pas réflechir à ce que je faisais et pour vous dire vrai, je crois qu'en fait je m'en fiche complètement. Parce que sinon je ne l'embrasserais pas avec autant d'envies que lui. De plus, j'avais terriblement chaud. Nos deux corps collés l'un à l'autre provoquaient en nous une toute nouvelle émotion, bien plus puissante que je me l'étais imaginé. Au loin les lycans me paraissaient sans aucune importance comparé à ce divin moment où nos lèvres unies n'étaient que tendresse et chaleur tandis que la langue de Mamoru caressait la mienne en un ballet de sensations plus brulantes les unes que les autres. Il ressera son étreinte, je l'embrassais avec plus de fougue et moins de timidité.

Et son murmure... Un murmure qui me fit frissonner comme jamais. Le court instant où nos lèvres se sont séparés, je l'ai regardé avec tendresse et désir. Le peu de contrôle que j'avais sur moi-même s'était brisé, je me laissais aller dans ce tourbillon inconnu d'émotions aussi nouvelle pour lui que pour moi. Et ce tee-shirt qui était le sien donnait trop chaud. Je voulais sentir sa peau brulante contre la mienne. Quittant de nouveau ses lèvres j'ai enlevé le tissu qui entravait une partie de ce désir nouveau et reprit ses lèvres pour un baiser fougueux. Nos deux corps n'avait plus que comme barrière de protection nos vétements du bas ainsi que nos sous-vetements.

"Ma...mo...ru..."

Murmure de désir qui annonçait le début d'une nuit forte en émotion.

Leurs rougeurs respective s'évanouissaient au fur et à mesure que leurs lèvres se cherchaient pour laisser place à une fièvre qui commençait à les dévorer tout les deux; les plongeons dans un tourbillon d'émotion qu'aucun de la jeune alchimiste de glace au jeune chasseur cyborg n'avaient gouté ni ressenti au cours de sa jeune vie: cette chaleur dévorante que seule certain élu peuvent découvrir, il n'est pas donné à tout le monde de tomber amoureux d'une personne que l'on ne connait pas mais c'est bien ce qui arrive au deux jeune personne sous ce dôme de glace alors que les lycans ne semblaient pas vouloir les laisser en paix et la lune; cet astre odieux brilla sous cette nuit magique.

Mamoru ne réussissait pas à sortir son regard des deux grand ciel étoilés que représentait les yeux de celle qui faisait battre son cœur contre le sien à une vitesse folle; l'amour peut donner des ailes dit-on mais les siennes si il en avait ne feraient que se refermer sur elle pour ne pas qu'elle s'envole, pour ne pas qu'elle le laisse: il était accro à elle, l'amour qu'il lui portait devenait de plus en plus fort mais l'instant où elle lui murmura son nom était trop. Elle retira ensuite le tee-shirt qu'il lui avait passé et posa sa peau nue mais brulante contre la sienne: cela acheva l'ascension du jeune garçon dans les contrées encore inexplorée de l'amour.

Le jeune cyborg sentit la douceur de sa peau nue contre la sienne, sa poitrine contre la sienne, son cœur contre le sien, ses lèvres contres les siennes; le jeune homme glissa une de ses mains le long du dos de la jeune fille et commença à caresser sa joue en rompant doucement le baiser avec un regard brillant et un sourire amoureux:

-Je...Je t'aime Yukiko...

2 mots; 2 mots simple qu'il n'avait jamais dit pour quelqu'un dans sa vie; voila qu'il les dit à cette fille qu'il connaissait à peine mais dont il voulait maintenant connaitre en tout point car il venait de faire sa déclaration: il était amoureux de Yukiko Majimichi.
Mamoru avait chaud, très chaud, beaucoup trop chaud; il reprit ses livras avec beaucoup plus de fougue en fermant les yeux totalement sous cet émotion nouvelle alors que son corps réclamait quelque chose qu'il n'arrivait pas à comprendre; il la voulait elle; son corps et son cœur la désirait maintenant et inconsciemment; le jeune homme descendit ses mains sur les jambes de la jeune alchimiste et caressa ses cuisses totalement envouté par elle.

La seul lueur de raison encore présente dans sa tête n'était allumé que pour l'alchimiste dans ses bras.

Pourquoi? pourquoi est-ce que j'avais l'impression qu'une petite voix au fond de ma tête me disait que c'était dangereux, que je ne devais faire ce que je m'apprêtais à faire, enfin ce que nous nous apprêtions à faire? Qu'est-ce que qui était dangereux? D'aimer quelqu'un? Parce que c'est ce qui m'arrivais là non? Je n'étais pas sûre mais je crois que c'était ça. Sinon je n'entendrais pas les battements de mon coeur faisant des bonds à ne plus pouvoir battre correctement, je ne rougirais pas devant ce regard qui sondait mon âme, je ne me déshabillerai pas comme ça pour sentir la douce et brulante chaleur de ce corps en dessous de moi. Oui, j'étais tombée amoureuse pour la première fois de toute cette vie qui était loin d'être terminée.

Nos deux corps serrés l'un contre l'autre faisaient virevoltés les papillons au creux de mon ventre en une sensation inconnue pour moi. J'avais du mal à comprendre exactement ce qu'il se passait mais dans esprit une image de mes parents me vint en mémoire alors que je n'étais qu'une enfant. Cette image m'avait profondément choqué puisque mon père et ma mère étaient nu, dans le salon, à faire des bruits bizarres. Ils m'avaient bien sur expliqués que je comprendrais que je serais plus grande mais maintenant que c'était le cas...? Pas le temps d'y penser un peu plus, car Mamoru se sépara de mes lèvres pour dire une chose que je n'avais jamais entendu de la part d'un garçon. Je t'aime... Se doutait-il à quel point ces deux mots faisaient sauter mon coeur? Avait-il vu les rougeurs qui venaient d'apparaitre? Et son sourire... je restais totalement envoutée. Et c'est avec le même sourire, encore plus tendre que lui, que je lui ai répondu d'un souffle chaud et sincère:

" Je t'aime aussi... Mamoru. Oui, je t'aime..."

M'entendre dire ça... une première encore une fois. M'entendre dire que j'aimais quelqu'un que je connaissais à peine... On raconte que le coup de foudre existe, et si au début jamais je n'y avais cru, en cette soirée où les lycans ne faisaient que hurler je le pensais vraiment. On pouvait tomber amoureux comme ça, sans explication. Et c'est ce qui nous arrivait maintenant. Les lèvres de Mamoru capturèrent de nouveau les miennes avec une fougue que je lui rendais. Nos langues se mélaient en une dance aussi douce que sensuelle. Doucement je perdais tout sens de la réalité, me laissant plonger dans le paradis que m'offrait Mamoru. Ses mains glissèrent jusque mes cuisses, j'avais trop chaud, oui, vraiment très chaud. Tellement chaud que nous nous sommes déshabillés en même temps, il enlevant son pantalon et moi ma jupe. Seuls nos sous-vetements séparaient nos deux corps qui appelaient à un désir brûlant.

Nos lèvres ne se séparaient plus. Je n'avais plus aucun contrôle sur mon corps qui voulait Mamoru. Cependant un petit reste de timidité faisat son apparition. Mes mains redessinaient délicatement chaque muscles qui roulaient sous sa peau douce et brûlante. Je n'osais pas descendre trop bas.

Mamoru eu une brève pensée pour son père : celui-ci souhaitait que son fils trouve une fille gentille dont il tomberai amoureux pour ce qu'elle est et non pour ce qu'il voyait d'elle; étant chef d'un milieu médical: il lui parla longuement des sentiments comme l'amour ou le désir; et ce qu'il pouvait entrainer mais le jeune homme n'as à vrai dire jamais pensé à la gente féminine; sa mère étant morte quand il était jeune et son père qui l'avait élevé tout seul en refusant de trouver une nouvelle femme vu sa condition de vampire et lui avait parlé des choses de l'amour d'une façon médical. Et voila maintenant qu'il était en plein dedans; le jeune homme se demanda pourquoi il pensais à ça alors qu'il y avait mieux a penser; enfin la question ne se posait plus car une fois ses lèvres prises par celle de l'alchimiste de glace; il ne pensait plus qu'a elle.

Voila maintenant que le jeune cyborg amoureux était en train de tomber encore plus amoureux d'elle quand il entendit une petite phrase qui bousculera dorénavant son existence.
" Je t'aime aussi... Mamoru. Oui, je t'aime..."
Elle l'aimait, elle était amoureuse de lui et venait de lui avouer; l'amour peut rendre fou ou aveugle mais dans leurs cas: ce fut un coup de foudre dévastateur pour les deux; un feu d'amour et de désir consuma lentement leurs cœurs amoureux et un seul regard suffit pour qu'ils agissent de concert et commence à se déshabiller: Mamoru retira son pantalon alors qu'elle glissa sa jupe avant de se reblottir contre lui dans un baiser remplit de fougue et recherchant sa chaleur.

Mamoru caressa tendrement sa nuque alors que leurs jambes se croisèrent; elle caressa son torse, il embrassa son cou avant de descendre doucement au dessus de sa poitrine avec sa langue et remonter avec elle jusqu'à son menton et reprendre ses divines lèvres alors qu'il levait sans faire attention son genoux entre ses jambes et touchait une zone qu'il n'avait jamais au grand jamais caresser: quand il le comprit, il trembla un peu ce qui eu pour effet de caresser le morceaux de tissu et ce qu'il protégeait; il rougissait doucement sans relâcher son regard et senti que ce petit frottement commençait à faire effet sur lui; ce qui lui causa un peu plus de rougeur alors que quelque chose grandissait autre part.

A quoi bon résister à la tentation qui rongeait nos deux corps collés l'un contre l'autre dans un concert harmonieux de battements de coeur alors que nous nous embrassions avec une fougue que je ne me connaissais pas? Jamais je n'avais ressenti auparavant cette chaleur qui grandit dans chaque cellule de ma peau. C'était comme si je brulais de l'intérieur. Ce n'était pas désagréable mais je savais que mon corps réclamait quelque chose, quoi je ne saurais le dire. On s'était déshabillé après nos déclarations d'amour car il s'agissait bel et bien d'amour, et on s'est blottit l'un contre l'autre, la chaleur consumant petit à petit le peu de timidité qui pouvait nous rester. Nos lèvres ne se quittaient plus, trop emportées dans un tourbillons de sensations plus délicieuses les unes que les autres.

La main de Mamoru caressait ma nuque, me procurant à chaque passage de sa peau une sorte de courant électrique qui faisait frissonner mon corps inlassablement. Malgré nos habits enlevés et le peu qui restait sur nous, j'avais encore très chaud, voire encore plus qu'avant. Nos jambes se sont croisés tandis qu'il embrassait mon cou, descendant avec sa langue jusqu'au dessus de ma poitrine. A ce contact, j'ai commencé à trembler, ma respiration semblait un peu saccadé. Ses lèvres revinrent sur les miennes qui les accueillaient avec plaisir. C'est alors que son genou remonta, peut-être sans qu'il l'ait fait exprès mais toucha une partie très sensible. J'ai hoqueté de suprise.

Comment expliquer la sensation que je ressentais maintenant. Hum... il n'y avait pas de mots. Mamoru tremblait un peu et par conséquant son genou aussi qui... Seigneur que c'était... agréable. J'en ai rougis tandis que mes yeux fixèrent ceux de Mamoru. On pouvait y voir un grand désir non dissimulé et une grande tendresse. Il était si beau quand il rougissait... J'ai ensuite senti quelque chose. Une sorte de bosse... Maintenant, c'était sur, nous étions deux tomates bien rouge. Cependant mon corps à eu une réaction que je n'ai pas pu contrôler. A moins que ce ne soit lui? Parce que je me suis retrouvée à la place de Mamoru. Désormais il était au dessus de moi. Doucement, une de mes mains s'accrocha à son cou tandis que l'autre se baladait sur son torse, sur ses muscles que je m'amusais à caresser du bout des doigts. Mes lèvres, elles, cherchèrent les siennes. Je me sentais bizarre au niveau du bas de mon ventre.

Je ne comprenais pas trop mais mon corps le voulait lui. L'image de mes parents apparut dans mon esprit. Finalement,je savais ce que nous allions faire... Mais pas pour l'instant.

La chaleur qui se dégagea de leurs deux corps creusaient un peu de buée à l'intérieur de l'abri de glace dont les lycans hurlants ne voulaient approché de peur que la glace ne leurs fait du mal mais, seraient-il aussi peu déterminé à attaquer ce dôme glaciale si ils savaient ce que faisaient ceux que le bouclier glacée protégeait; à l'intérieur : deux corps collé l'un contre l'autre dont la chaleur aurait réussi à faire fondre la glace sans problème venaient de faire leurs premiers pas sur le chemin des adultes ensemble; deux jeunes gens rencontrés dans un chalet sont sorti de celui-ci quelque heure auparavant, il sont rentré très proche et vont maintenant devenir amant sur le chemin de la providence; sur l'autoroute de la chance : c'est une romance d'aujourd'hui.

Mamoru sourit à l'adorable son qui sorti comme un hoquet de la bouche de la jeune alchimiste qui dévora lentement la sienne un instant auparavant en devenant rouge; ce fut ensuite le tour du cyborg rouge de faire pâlir une tomate par sa rougeur qui prit un pic plus profond à l'instant où il sentit le corps de Yukiko s'appuya sur une bosse qui s'était formé dans le caleçon du jeune garçon; pour être embarrassé il l'était mais la suite devint encore pire pour son esprit de plus en plus confus pour la tournure de cette situation dont il n'avait comme la jeune femme; aucun contrôle: il ne sut pas si c'était lui qui commença ou elle mais ils échangèrent leurs places sous l'épaisse couverture qui devait semblait bien inutile car ils ne sentait plus le froid, ni la peur; seulement la chaleur de les corps respectifs blotti l'un contre l'autre dans un spirale de sensation délicieuse pour ses jeunes novices dans les contrée de l'amour et du désir.

Voila maintenant au début d'une chose que Mamoru ne pensait jamais faire et ainsi ne jamais s'attacher à quelqu'un mais voila que la jeune fille avait changé toutes ses convictions; lui qui ne voulait être avec personne la voulait elle, lui qui avait jurée de ne pas connaitre le bonheur tant que l'assassin de son père vivait était en train de le découvrir avec elle:
Sans lâcher ses lèvres; le jeune cyborg frissonna légèrement sous les caresses de la jeune fille et posa un doigt sur son ventre et commença à faire de petit ronds autour de son nombrils alors qu'un autre doigts longea ses cotes avant de remonter à ses cheveux qu'il caressa amoureusement en se blottissant un maximum contre elle avec un regard emplie d'amour et de désir; puis il ferma les yeux pour mieux apprécier ses caresses et s'imprégner d'elle et de sa douceur...

Je m'interdisais mentalement de ne pas perdre le contrôle tout entier de mon corps qui ne cessait de devenir brûlant au contact de la peau à même température de Mamoru. Mais plus je luttais et pire c'était. Je n'avais plus le choix, je devais vraiment me laisser aller. Mais j'avais un peu peur quand même. Cette expérience que nous étions en train de vivre était notre première fois. Fallait-il vraiment se laisser aller au désir qui animait nos deux corps collés? Si ma tête me criait d'arrêter, j'avais la nette impression que mon corps et mon coeur l'envoyaient royalement balader et s'emparaient du peu ma lucidité pour n'avoir en tête qu'une seule et unique personne: Mamoru.

Nos places échangées, cela ne nous a nullement empêchés de continuer la découverte du corps de l'autre. Je redessinais chacun de ses muscles en effleurant sa peau du bout de mes doigts blancs. Lui aussi s'amusait, et la sensation de ses petites caresses me faisait sourir comme une idiote. J'adorais ça, j'en rougissais vraiment, je devais même avoir la même couleur que les joues de Mamoru. Mes lèvres se posèrent doucement surles siennes avant de parcourir son visage, déposant une pluie de baiser brûlant et aussi doux qu'un battement d'aile de papillon. Je goutais cette peau ue je trouvais délicieusement douce et agréable. Je descendis vers le menton, puis dans le cou.

J'avais envie de le faire hoqueter comme moi il y avait à peine quelques instants. Je voulais lui procurer cette sensation aussi dévorante que brûlante. C'était comme si je n'étais plus timide. Avec un sourire, j'ai doucement léché son cou. Petit coup de langue pour tester, puis je suis descendue petit à petit jusqu'à son coeur qui cognait avec puissance et rapidité. Comme le mien en cet instant. Délicatement j'ai pris sa main pour la poser sur ma poitrine, à l'emplacement de mon coeur amoureux. Mes yeux ne réfletaient que des émotions inconnues pour moi. Amour, désir, tendresse...

Impossible d'essayer de penser à autre chose que le corps collé contre le sien :le jeune homme était complétement sous l'emprise de la jeune fille et sous celle de l'amour qui martelait sa poitrine de l'intérieur; notre jeune cyborg ne réfléchisse pas au conséquence de ses actes ni même que cela allait être sa première fois; on dit que l'on peut être maladroit à cet age là mais lui n'avait que 16 ans; le serait-il encore plus ?Il savait bien sur ce qui allait se passer si ce qu'ils faisaient, continué dans ce sens, sur la route de la découverte de la passion charnelle et sensuelle.
Voila le genre de question qu'il devait se poser mais ce ne sera pas le cas car la jeune alchimiste continua ses douces caresses en le couvrant de baiser alors que lui cherchait sa bouche en caressant tendrement ses long cheveux d'or avec soins, les laissant glisser entre ses doigts avant de respirer leurs parfum si suave...

Le ballet des sens continua: lorsque lécha son cou, il posa un doux baiser sur son front avant qu'elle ne prenne sa main et la dépose sur le marteau piqueur qui lui servait de cœur; Mamoru prit doucement sa main à elle et la blotti contre son cœur à lui: quel sensation merveilleux que de sentir deux cœurs qui bats à l'unisson; mais si la main de Yukiko était posé sur la poitrine du cyborg, ma main à lui était posé sur son sein droit: il bougea légèrement la main sur ce qu'il avait avec douceur: il essaya de ne pas lui faire mal en caressant doucement sa poitrine; puis utilisa un seul doigt qui fit le tour du sein en tremblant légèrement avant de remonter doucement sur le petit bout rosé caché sous ses sous-vêtements avec tendresse avant de reprendre ses lèvres tendrement.

Il s'enhardit et commença à baisser doucement le soutient gorge de la belle avant de poser doucement ses mains dessus mais un instant de lucidité revint dans sa tête: Qu'était-il en train de faire ? Sa raison lui cria de s'arrêter immédiatement, qu'il ne devait pas faire ce que son corps lui ordonnait, qu'il allait commettre une faute irréparable: cette petite voix fut balayé par la vision des yeux de celle qu'il aimait dorénavant.Il caressa doucement la poitrine de la jeune femme avec minutie puis titilla du bout des doigts les petites collines de pèche qui se dressaient sous ses caresses avant de reprendre ses lèvres en posant sa poitrine entièrement nue sous la sienne, ses mains dans les siennes aussi; son bassin contre le sien avec toujours cette bosse dérangeant qui fit rougir un peu plus le cyborg amoureux.

Je savais pertinemment que ce que nous faisions en cet instant n’était pas une bonne idée. Oh oui je le savais. Mais je n’arrivais plus à contrôler ce corps qui était le mien, et sans même me battre mentalement, car je n’en avais nullement envie, je me laissais aller à ces petites sensations qui faisaient naître en moi une multitude de plaisirs que je voulais retenir. Parce qu’en un sens, c’était la première fois que je vivais cela. Une première fois... Moi qui n’avais jamais pensé être avec quelqu’un, voilà que je rencontrais Mamoru, parfait inconnu qui était vraiment adorable et séduisant. En quelques heures seulement je le laissais me toucher, goûter à mes lèvres et m’emmener dans un autre monde, là où on ne serait que tous les deux.

J’avais pris sa main, douce et chaude, pour la mettre sur mon cœur affolé par tant d’amour. Je n’avais pas l’habitude de recevoir ce genre de sentiments. Lui avait fait pareil, nos cœurs battaient à l’unisson, écho amoureux de deux êtres qui s’aimaient d’un amour étrange et presque irréel. Mes doigts tremblants caressaient la peau chaude de Mamoru, tandis que les siens caressaient ma poitrine, me procurant une sensation frissonnante et délicieuse à la fois. J’avais chaud. Très chaud. Peut-être un peu trop. D’un baiser tendre, je suis passée au baiser fougueux, son intensité renforcé par ce désir qui montait lentement en moi et qui me consumerait bientôt totalement.

Un plus tard, entre deux baisers passionnés, Mamoru baissa avec une lenteur que j’appréciais avec un sourire timide mon soutien gorge. Ma peau brulait sous ses mains, mon corps tremblait sans que je puisse le contrôler. J’ai hoqueté de nouveau. Parce que cette sensation était délicieuse. Cela faisait deux fois... Intérieurement, je me battais contre ma raison. Je ne devais pas le laisser faire ce qu’il faisait, mais j’en avais tellement envie que le combat mental cessa rapidement. M’accrochant à lui, nos deux corps se sont retrouvés l’un contre l’autre. C’est à ce moment là que je sentis une bosse au niveau du... caleçon de Mamoru. Mais étrangement, je n’ai même pas rougis. Je l’embrassais toujours tandis que doucement ma main glissait vers son sous-vêtement, effleurant du bout d’un doigt cette bosse. Le point faible de tout homme. J’étais curieuse, je voulais voir si l’effet que lui avait sur moi était pareil, mais cette fois-ci à lui d’être à ma place et d’éprouver ce plaisir que je ressens toujours avec plus d’ardeur encore.

[hrp: désolée du retard. J'espère que ça te plait ]

Quand la flamme de l'amour et le désir brule; la raison même celle d'un garçon très intelligent dont la mort d'un proche avait bouleversé l'existence ne pesait pas assez pour contrer ce que l'alchimiste de glace avait éveillé en lui: un cœur qui bat en accord avec celui de la jeune femme dont les caresses lui provoquait une succession de doux frisson parcourant son corps à chaque fois que Yukiko le toucha. Quand le jeune cyborg caressa sa belle poitrine blanche; il entendit de nouveau une sorte de petit hoquet de la part de celle-ci au quelle il adressa un sourire tendre avant de reposer ses lèvres sur les siennes avec délice.

-Gasp...

Lui aussi venait d'avoir un hoquet quand il senti qu'elle venait d'effleurer ce qui faisait de lui un garçon ( pas encore un homme mais cela ne saurait tarder) en écarquillant les yeux redevenant aussi rouge qu'une tomate avant de reprendre sa couleur normal sous le sourire de la magnifique alchimiste sous lui.Cette caresse donna un regain d'ardeur au garçon qui rompit le baiser avant de poser lentement ses lèvres sur son ventre chaud et sucrée, le léchant avidement comme on lèche une sucrerie en posant maintenant un doigt au dessus de sa culotte en la retirant lentement.Puis à mit chemin; il posa son regard dans celui de la jeune femme comme pour avoir son approbation sur ce qui va suivre car cela fait; il sera trop tard pour reculer.

-Yukiko...

Le jeune cyborg vit le sourire de la jeune femme et senti sa température monter en flèche alors qu'il retira en lenteur la petite culotte de l'alchimiste: cela dura un instant, un instant d'éternité pour le jeune homme qui se retrouvait en proie avec lui même: maintenant la seul limite qui se trouvait entre eux deux était le caleçon du jeune Senken: le seule rempart entre eux alors que celui-ci posa ses yeux sur son corps maintenant entièrement nue et à lui.

"Tu... tu es magnifique Yukiko..."

Il ne dit aucun mot de plus alors que leurs lèvres se retrouvèrent de nouveau ensemble dans un doux baiser alors qu'elle se colla contre lui maintenant assis l'un contre l'autre. Cependant son caleçon devenait de plus en plus insupportable pour lui; il n'en pouvait plus et rompit doucement le baiser avant de se lever en lenteur: il ne sentait ni la morsure du froid ni la gène pour ce qu'il allait faire... Le garçon posa ses mains sur son caleçon qu'il abaissa son honte, libérant ce qui faisait de lui un homme devant celle qu'il ne connaissait que quelque heure sans que le rouge ne lui monte aux joue; plus rien ne les séparaient à présent.

Le voila nue à présent; son cœur lui donnait l'effet d'un marteau piqueur dans sa poitrine, ses yeux s'embrumaient doucement sous le désir et la découverte des plaisirs que ce qui leurs arrivait continué, son esprit était confus mais il n'était plus aussi fatigué qu'en arrivant sous le froid et le danger dans le ranch; ce qui était plutôt une bonne nouvelle malgré le flot de sensation nouvelle qui étouffé la petite voix dans son esprit qu'il disait qu'il faisait une énorme erreur, mais le jeune cyborg s'en moquait éperdument.

Le jeune homme était assis contre elle; alors que les main de Yukiko dessinaient son torse, les siennes descendaient lentement vers son bas ventre tel un conquérant en territoire inconnue; vraiment inconnue pour lui qui marchait sur la terre de l'amour et du désir mais les instinct primaires du garçon étaient toujours là malgré que son sang était remplie d'un million de petit robot super en avance sur la technologie actuelle mais malgré cela: il n'était qu'un homme.

Sa main descendait au niveau de son nombril sans vraiment s'y attardé; il avait besoin de la sentir, de l'entendre, de la gouter... Sa main glisser le long de sa peau avant d'atteindre très lentement son entre jambe et sa fleur intime en fermant les yeux.

Je n’arrivais plus à rester lucide tandis que nous étions l’un contre l’autre dans une étreinte amoureuse et follement passionnée. Mes mains sur son torse se baladaient tranquillement, dessinant chaque muscle, chaque détail que mes yeux pouvaient voir sur son corps d’homme. Bien sûr j’évitais volontairement de descendre plus bas. D’abord parce que c’était la toute première que j’avais un garçon totalement dénudé en face de moi et ensuite parce que je n’osais pas allez plus bas, je n’osais pas toucher son membre dressé par un désir que je contenais avec bien du mal. Et lorsque lui posa ses mains sur moi, parcourant les moindres recoins de ma peau qui frissonnait à chaque caresse, je sentais mon cœur bondir dangereusement dans ma poitrine. Mes yeux semblaient être sous une fine couche de brume, le désir commençait vraiment à nous emporter je crois.

Cependant si moi je n’avais pas osé descendre lui le fit. Doucement, mais le fit quand même. Hoquetant au contact de ses doigts sur mon entrejambe, un grand frisson me parcourut tout le corps, emportant avec lui toute ma timidité, toute ma gêne. Mamoru avait fermé les yeux, j’en ai profité pour capturer ses lèvres d’un baiser passionnée. Cette intimité qui était la mienne allait être sacrément perturbée. Surtout quand les doigts de mon amoureux s’y glissèrent. Sans pouvoir me retenir un gémissement sorti de ma bouche. J’avais moi aussi les yeux fermés, je respirais fort tellement la sensation était... Wouah. D’un geste que je savais parfaitement contrôlé je descendis mes doigts jusqu’à ce que le contact se fasse avec le membre tendu de Mamoru. Ne regardant pas ce que je faisais, je glissais ma main dessus, laissant mes doigts le caresser délicatement. Je voulais qu’il frissonne comme moi, je voulais qu’il ressente ce désir qui absorbait le peu de bon sens qu’il me restait.