Une nouvelle rencontre trés inatendu... [ pv tsukuné ]

Aprés tout ce que j'avais prit comme info l'aveil je décida de me racheter des blocs pour marquer mes notes. Enfin arriver je vis que c'était immence et que pour me repérer ça aller pas etre de la tarte alors je marche tranquillement et tout ce monde autour me donner envie de suçer du sange mes je réussis a me calmer et reprendre mes esprit. Je marcha longtemps sans trouver quand d'un coup je bouscula quelqu'un. Je le regarda et dit d'un ton neutre.

Pardon je vous avez pas vue.

J'allais continuer mon chemin quand soudain je me dit qu'il pouvait peut etre me renseigner. Alors je me retourna et dis.

Au faite excuser moi ou est le lieu papeterie?

Tsukuné qui revenais de l'entrainement décida de passer par le centre commercial pour faire quelque course. Il pris de ci et de ça, et soudain il se retourna pour aller dans un autre rayon quand il heurta une demoiselle, celle ci ne se fit juste que de faire du sur place, elle s'excusa alors. Tsukuné comme jamais, sourit et accepta ses excuses. Il regarda alors la jeune demoiselle qui à se moment là lui demanda le rayon papeterie. Tsukuné lui indiqua avec un sourire l'endroit et lui demanda.

C'est un très grand centre commercial, voulez vous que je vous mène dans cette endroit ? J'y viens asses souvent donc, je peux peut être vous aider euh ... Mademoiselle ?

Tsukuné avais un présentement bizarre, un sentiment de connaissance avec la demoiselle. Il avait l'impression de déjà l'avoir vu ou rencontrer, mais, ces dernier temps il est très prit par la Boxe, il ne se rappela pas. Alors il tendit la main à la demoiselle et lui dit.

Je me nomme Tsukuné, Tsukuné Aono, Boxeur professionnel, et, à qui ai-je l'honneur ? Je doute que cotre nom soit aussi mignon que vote doux visage.

*Mince, j'ai l'impression de déjà avoir vécu ça ... Rhaaaaaaaaaa mince alors, la boxe me fait perdre la tête, je doit me reposer pour demain.*

Il attendit alors que la demoiselle veuille lui donner sa main pour l'espoir d'un baiser.

Le jeune homme lui répondit et alla même plus loin jusqu'a se présenter et lui demander de l'accompagner. Je me diser sur le coup que c'était pas par ce que j'était une fille que je savais pas me diriger. Puis je tendit ma mains et dit.

Oui enchanté Leila Anderson journaliste... oui merci volontier.

Je regarda autour de moi comme inquiéte et je dis d'un ton calme et neutre.

Bon aller go je suis assez présser j'ai beaucoup de travail.

Tsukuné fit jouer son charme comme à son habitude. Il laissa alors la demoiselle au doux nom de Leila Anderson poser délicatement sa main sur celle de Tsukuné, qui lui, la pris délicatement à deux main puis, lui baisa par la suite. Il dit alors.

Humm, quel doux et sensuel parfum ...

Tsukuné se retira d'un pas et lui fit signe tel un gentleman de prendre les devant. Avec un doux sourire sur le visage et un expression saine, qui ne pourrai pas résister à ça ? Il l'accompagna alors doucement vers la papeterie en lui expliquant les pancarte accrocher et suspendue en l'air. mais, il alla plus loin dans sa curiosité qui la tua. Il demanda alors.

Que fait vous comme reportage, enfin, quel type de reportage et de journal tenez vous ?

Tout en gardant sous sourire et son air sain, il mena alors Mademoiselle Anderson dans le lieu de papeterie. Il lui fit un signe comme quoi ils étaient arriver.

Voilà, nous y sommes, voilà la papeterie.

Tsukuné sourit alors à mademoiselle Anderson et attendit de savoir si il pouvais disposer.

Je le laissa faire son beau gentleman et je le suivis sans rien dire. Je regarder autour de moi sans rien dire. Je regarder les panneaux comme il m'avait et me dit que si j'avais lever la tête ça aurais était mieux. Mais d'un coup il me posa la question qui tue. Alors je resta silencieuse et je dis d'un ton bas.

Je fait des recherches sur des meutres en séries. Interessant non?

Je regarda d'un air nier puis continua son chemin. Puis vis la papeterie devant elle et dit.

Ah voilaa enfin. Merci beaucoup.

Je coura comme une gamine dans tout le magasin et acheta pleins de bloc et des stylos.

Ouiiiii enfinnnnnnnn !!!

Alla a la caisse et paya toute ses petite courses et sortit du magasin avec un enorme sourir.

Tsukuné se fit remercier et c'est alors qu'il se dirigea vers la caisse. Il arriva à la caisse et paya ses course, il partit asses vite du magasin. Une fois sortit, il regarda le ciel. Ce ciel bleu, ce soleil rayonnant, ces nuage blanc, cette douce brise qui caressa ses joue et virevolter ses cheveux ... Il respira un bon cou et commença à marcher doucement. Il mit ses lunette de soleil et avança doucement vers chez lui.

*Hum, elle était bizarre cette demoiselle Anderson, charmante mais elle agissait bizarrement. Bref, ça m'as fait bizarre, il me semble la connaitre ...*

Après quelque minute de réflexion ...

Mais Oui !!!!

Cette journaliste que j'avais vu autrefois, cette fille, devant le cinéma, cette vampire allumeuse et ... Hum, peut être que ...

Tsukuné rentra alors chez lui puis feuilleta le bottin de feuille jaunes. Il chercha et trouva alors le nom et le numéro du bureau de mademoiselle Anderson. Il prit le téléphone et resta ainsi pendent un cours instant.

*Hum, que vais-je lui dire ?*

Tsukuné déposa alors doucement le téléphone et se leva. Il alla s'habiller, et partit en ville pour se changer les idées. Il marcha sans but puis, s'arrêta devant un bâtiment. Il regarda de haut en bas ce bâtiment et décida de faire une pause. Il vie un banc face à celui ci et s'assoit dessus. Il soupira et n'arriva pas à ôter l'image de mademoiselle Anderson de sa tête. Il bascula doucement sa tête en arrière retenue de ses mains puis pensa tout en soupirant ...

*Ahhhhhhhhhhhh ........ que m'arrive t-il ? ... Pourquoi je pense à elle ? Certes son visage était magnifique, mais, ne me dites pas que je suis .......*

Alors que Tsukuné devint rouge, il baissa soudainement la tête avec ses main devant lui.

Je sortis dehors aprés mon achat. Je marcha tranquillement me dirigeant vers mon studio puis en regardant comm ça un peu partout je vis au loin quelqu'un qui me diser quelque chose. Alors je m'aprocha et vis l'homme de tout à l'heure alors je me dirigea vers lui. Enfin a côté de lui je m'assis et dit.

Ca va pas? Dites moi si y a un soucis je peu vous aidez.

Je ferma les yeux me laisser bercer par le vent qui soufler sur mon visage. Et essayer d'entendre la voix qui resonner dans ma tête.

Audric: " Leila ne laisse pas tombe orgueil faire fuir le bonheur...

Leila: audric... Audric? AUDRIIIIIIIIIIIIIIIIIC"

Je peu vous aidez si besoin.

Je lui souris et lui fait une petite tape amiciale dans le dos. Puis je remet une méche de cheveux qui avait voler sur le milieu de mon visage.

Tsukuné qui était assit et qui regarder le sol entendit des bruit de pas, alors il ne bougea pas, les pas se rapprocher jusqu'à ce que ceux ci s'arrête à ses cotés et que son dirigeant prenne place avec lui sur le banc. Ile entendit une douce voix, une douce voix familière ... Une douce vois qu'il avais entendu à deux reprise maintenant ... Dés l'entente de celle ci, il leva doucement la tête en direction de la demoiselle, et il aperçus peux à peux ses jambes, puis vin de ton tronc, enfin, de sa poitrine, pour finir par son doux visage. Oui, c'était Bien mademoiselle Leila !! Elle m'avait apporter son aide, malgré qu'elle ne pouvais pas faire grand choses ... Lorsqu'elle lui demanda si j'allais bien et que si j'avais un soucis elle pouvais m'aider, je baissa la tête doucement ... après quelque petites secondes, elle me reparla et me proposa son aide ... Je détourna le regard pour regarder profondément dans le sien et laissant apparaître un visage rougeâtre. Ses yeux était teinté d'un bleu virant au rouge, sa respiration commença à augmenter. Lui même ne savant pas ce qui lui arriver rebaissa la tête et voulu prendre la parole, mais une tape le fit se réveiller. Ainsi, il secoua la tête et regarda Mademoiselle Leila.

Oh, bonsoir mademoiselle Leila, comment allez vous de puis toute à l'heure ? Non, désolé, j'ai chute eu une chute de moral après m'être souvenu de vous ... Mais, que faite vous seul dans cette rue, en pleine soirée, n'avez vous pas peur ? A vrai dire, en sortant du magasin, je me suis mis à penser à vous, votre doux visage me hanter et il me laisser croire à une seconde rencontre, et après quelque minute de réflexion, je me suis souvenu de vous ... Pour je ne sais quel raison, j'ai chercher à vous revoir, alors, j'ai tenter de vous appelez, mais, je me suis dit que ça servirai à rien ... Alors j'ai errer et je me suis assis ici ... et enfin, je me retrouve à discuter avec vous. Destin ou coïncidence ? vous pensez vous ? En tout cas, je ne sais pas ce qu'il m'arrive, car, c'est ainsi la première fois que ça m'arrive ... Ai-je développer un nouveau sentiment ?

Tsukuné se stoppa net ce disant qu'il disais n'importe quoi, mais il voulais aller jusqu'au bout ... Alors, il reprit doucement parole et ...

Qu'est ce que la beauté ? La merveille de la nature, quelque chose que l'ont peux observer pendent des heures et des heures sans s'en lasser, peut être que tu fait partit de ces rares choses que l'ont cherche et que l'ont veux regarder pendent un temps indéfini ... Leila ? Je pense avoir développer quelque chose, quelque chose qui m'était encore inconnu jusqu'à présent, un sentiment rassurent, chaud, et très bon Un sentiment, qui nous permet de rêver, même si c'est que pour un cours instant, je ne peux m'empêcher que comme à la boxe, tout est possible ...

Il releva doucement la tête vraiment rouge, rouge de mal ou autre on ne sais pas, mais ce qui est sur, c'est qu'il n'allait pas très bien. il commença à barbouiller et à mâchouiller ses mots, il sentait son cœur battre fort et le serrer, il se sentait chaud, il ne connaissait pas ce sentiment, il le vivais pour la première fois ... Alors, il dit tant bien que mal ...

L .. L .. L .. L .. L .. Leila !! Je .. je .. je .. je .. je vous ...

Il se souvint alors de l'enseignement de boxe qu'il à eux durant tout son apprentissage ... Son coach qui lui disais ...*Impose ton rythme du début, commence par des jab, va y doucement, test le, et ensuite, fonce !!*Alors, il se dit.

*J'avance et j'impose mon rythme !!*

Quand j'ai passer ce peux de temps avec vous, je me sentais très bien, même peut être trop bien ... J'ai vraiment beaucoup apprécier votre compagnie ...

*quelque Jab !!*

Au début, je vous trouver bizarre, mais peux à peux, je vous ai apprecier, même si nous ne nous somme pas vu beaucoup de fois et très peux de temps, j'ai vraiment apprécier votre compagnie ...

*Continu, ne la laisse pas s'échapper !!*

Et là, quand je fessais que de penser à vous, je me suis rendu compte que j'éprouvais des chose pour vous ...

*Le finish !!*

Leila ... Je vous aimes ...

Tsukuné regarda alors Leila tout rouge et baissa peux à peux la tête, peur de sa victoire ... ou de sa défaite ... Alors il commença à se lever, et à partir ...

Désolé, je vous embête avec mes pauvre petite histoires de rien du tout ...

Puis, il commença à avancer ...

Je resta stoique quand tsukuné se mis a parler. Je comprenais pas tout mais il avait l'air bizarre. Alors je le regarda d'un aire triste ne sachant pas quoi resentir ni répondre. Quand j'entendit le mot " aime " mon coeur ne fit qu'un tour. Je vit trouble et mon coeur se mit a battre trés fort. Je me plia en deux et dans ma tête passa pleins d'image encore jamais vue mais si familier. Je mit mais mains sur ma tête et me mit a crier " AAAAAAAH POURQUOIIIIIII !!!! " je me controler plus allant de vampire a humaine je devenais folle. Et une voix familliére et douce se fit entendre dans ma tête. " Je t'aime ma chérie ne l'oublie jamais... " je ne savais pas de qui elle venait mais sa voix m'étais si familliére. Je continua a hurler de douleur et me cambra sur moi même. Puis j'entendit une autre voix familliére mais je savais cette fois qui c'était. Audric...

" Audric: LEILA JE T'AVAIS PREVENU DE PAS CHERCHER A SAVOIR TON PASSER!! PAS TEMPS QUE TON COEUR SERA LIER A C PACT. Leila fait le pour moi calme toi je t'en prit..

Leila: J'ai rien chercher audric je te jure.... Aimer audric que veux dire aimer...

Audric: Aimer ma soeur c'est un sentiment fort pour quelqu'un. Quelqu'un que tu veux toujours pret de toi. Quelqu'un a qui tu penses jour et nuit. C'est ça l'amour...

Leila: Frére ce peut il que l'amour face souffrir?

Audric: Oui a en mourir parfois...

Leila: Je veux pas mourir audric...

Audric: tu es déja morte..

Leila: QUOI? AUDRIC AUDRIIIIIC....."

Je trambler en regardant dans le vide... morte j'étais morte mais pourquoi es ce que j'étais ici la bien en vie. Je connaisser rien de ce qui c'étais passer dans mon passer mais ça me réprocher bien dans mon enquéte je pouvais etre cette jeune fille morte en agleterre.... Non non impossible... Je regarda le sol pleurant sans controler mes larmes. D'un coup je me releva et regarda tsukuné et dis la mains sur son coeur.

Je peu pas... répondre a ce que tu me dit... enfin je sais pas ce que aimer veux dire réélement... Je veux aprendre... mais... je....

Je me sentis faible d'un coup et sentis mes membres s'engourdir. Mes yeux commenca a se fermer et je tomba a terre inanimé. Morte? non.. juste evanouis.

Tsukuné qui marchait désespérer entendit un cri, la voie familière de Leila le fit se retourner et courir vers elle. Il se mis à genou devant elle qui se tenait le front, alors il la pris par les épaule ne sachant pas quoi faire. Il serra son poing quand elle se releva et lui dit.

Je peu pas... répondre a ce que tu me dit... enfin je sais pas ce que aimer veux dire réélement... Je veux aprendre... mais... je....

Tsukuné s'attrista et la lâcha doucement ... Mais soudainement, elle s'effondra. Tsukuné se jeta sous elle pour la retenir et amortir sa chute. Il la releva et l'allongea sur le banc, pris son poux, puis installa sa tête sur ses jambes. Mais, Tsukuné eu soudainement une douleur atroce à l'épaule. il se la teint et baissa sa tête, ça commencer à lui tourner mais il refusa de s'endormir. il secoua la tête pour ne pas s'endormir, il se frappa le visage à plusieurs reprise, il ne devait pas s'endormir !! Plus le temps passer, plus il avais mal, plus sa tête lui tourner. Il refusa pertinemment de lever la main sur une dame, alors il continua de résister. Sa main dégouliner de sang. Il s'était grièvement blesser l'épaule. Tsukuné, fini alors par s'endormir, malgré qu'il ne le veuille pas. Il était très pale et très transpirant. allait-il mourir ? Nous ne savons pas. Il vit alors une dame qui lui sembler familière. Une douce voie lui parla.

Tsukuné, que fait tu ? tu as tellement changer, tu n'était pas comme ça avant, que se passe t-il ? comment se fait-il que tu ai ainsi changer, Oh Tsukuné, revient comme avant, s'il te plait, ne me laisse pas une seconde fois, je t'en prie, TSUKUNEEEEEEEEEEEEEEE !!!!!!!!!!

Tsukuné ne bougea pas. il souffrait ... Il souffrait physiquement comme moralement et mentalement ... Il ne savait et n'avait plus envie de fait quoi que se soit ... Encore une fois, il resta enfermer dans son passé, dans ses souvenir, dans cette souffrance ... Tsukuné, se laisser mourir ...

Je me sentais partir loin et je voyais quelque image qui me faisais de plus en plus mal. D'un coup je sentis une force entrer en moi qui me refit reprendre connaissance. J'entendit audric avec une voix en colére et inquiet.

" Audric: Ecoute ma voie leila... Je te laisserais pas tomber... tu m'entends je serais là dans ton coeur pour te donner la force. J'ai sacrifier ma vie pour ta naissance je te laisserais pas mourrir deux fois. Réveil toi j'arrive bientot courage...petite... soeur. Je ... t'aime. "

Je me releva d'un coup et chercha bizarrement audric. Ca me fit couler des larmes car il commencer a me manquer. Je regarda sur le banc et vit tsukuné aparament blésser. Je sais pas comment c'était arriver car a mon souvenir il c'était pas blésser. Puis je m'aprocha et je lui donna des claques pour qui reste éveiller puis je déchira ma jupe et fit un bandage sur son épaule. Et je l'emenmena chez moi pour le guerrir.

Courage c'est pas loin.

Tsukuné qui s'endormait se fit réveiller par des claques. Il ouvrit doucement les yeux, puis après un cours instant de floutage, il vit Leila. celle ci fit ce qu'elle pus pour arrêter quelque temps le saignement puis, l'emmena dans un endroit, il ne savait pas où aller, mais il n'avais pas le choix. Il essaya de marcher pour faire voir que ça allais mieux malgré que ça n'allais pas mieux. Il marcha avec un bras autour de celui de Leila tout en regardant le sol. Il marcha et soudainement, d'un petite voie, il dit alors.

Désolé ...

Puis il marcha sans dire un mot et sans regarder autre pars hors le sol. Ile ne savais pas quoi dire ou quoi faire à pars marcher ...

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